
pastels
Calligraphie de l’eau, danse de l’écriture
Tempête n°2
*** Bonne année 2016 ***
AURORE
33. Aurore, 2015
32. Aube du monde, 2015
31. Chemin blanc, 2015
30. Soleil hivernal, 2014
29. Collines bleues, 2014
28. Mille et une nuits, 2014
27. Douceur du soir, 2014
26. (E)automne, 2014
(d’après une photo vue sur www.Photo-Paysage.com /cc by-nc-nd)
25. Miroitements, 2014
(d’après une photo de Bruno Monginoux/cc by-nc-nd /www.Photo-Paysage.com)
24. Rose crépuscule, 2014
23. Arbre nu, 2014
@DanniSr8 : « La mélancolie est un crépuscule, la souffrance s’y fond dans une sombre joie. » Victor Hugo
22. Embrasement, 2014
21. Rêverie d’été, 1967
20. Soleil irlandais, 2014
19. Mouillage, 2014
(d’après une photo proposée par Marie-Christine GRIMARD)
18. Le ciel et la mer, 2014
17. Rivage, 2014
16. Océan, 2014
15. Aube, 2014
14. Coucher de soleil, 2014
13. Miroitement de l’eau au crépuscule, 2014
(d’après une photo originale de Mooonalila)
12. Ciel d’hiver, 2014
11. Déclinaison, 2014
10. Village, 2014
9. Flots, 2014
8. Paysage portuaire, 2014
7. Route en hiver, 2014
6. Falaise (Pointe du Hoc), 2013
5. Confins, 2013
4. Front de mer, 2013
3. Tribord, 2013
2. Transparence, 2013
1. Grand vent, 2013
Pastels
30. Soleil hivernal, 2014
29. Collines bleues, 2014
28. Mille et une nuits, 2014
27. Douceur du soir, 2014
26. (E)automne, 2014
(d’après une photo vue sur www.Photo-Paysage.com /cc by-nc-nd)
25. Miroitements, 2014
(d’après une photo de Bruno Monginoux/cc by-nc-nd /www.Photo-Paysage.com)
24. Rose crépuscule, 2014
23. Arbre nu, 2014
@DanniSr8 : « La mélancolie est un crépuscule, la souffrance s’y fond dans une sombre joie. » Victor Hugo
22. Embrasement, 2014
21. Rêverie d’été, 1967
20. Soleil irlandais, 2014
19. Mouillage, 2014
(d’après une photo proposée par Marie-Christine GRIMARD)
18. Le ciel et la mer, 2014
17. Rivage, 2014
16. Océan, 2014
15. Aube, 2014
14. Coucher de soleil, 2014
13. Miroitement de l’eau au crépuscule, 2014
(d’après une photo originale de Mooonalila)
12. Ciel d’hiver, 2014
11. Déclinaison, 2014
10. Village, 2014
9. Flots, 2014
8. Paysage portuaire, 2014
7. Route en hiver, 2014
6. Falaise (Pointe du Hoc), 2013
5. Confins, 2013
4. Front de mer, 2013
3. Tribord, 2013
2. Transparence, 2013
1. Grand vent, 2013
PASTELS
Rivage, 2014
Océan, 2014
Aube, 2014
Coucher de soleil, 2014
Miroitement de l’eau au crépuscule, 2014
(d’après une photo originale de Mooonalila)
Ciel d’hiver, 2014
Déclinaison, 2014
Village, 2014
Flots, 2014
Paysage portuaire, 2014
Route en hiver, 2014
Falaise, 2013
Confins, 2013
Front de mer, 2013
Tribord, 2013
Transparence, 2013
Grand vent, 2013
Rivage
Couleurs et/ou lignes
Elle avait commencé par dessiner. Pourquoi diable s’éloigner de la ligne pour aller chercher les couleurs? Claudine aimait le dessin comme on aime l’écriture. L’épure, la conceptualisation, une certaine idée de la beauté et de la vie, la recherche d’un sens gagné laborieusement une ligne après l’autre sur un chemin tracé chaque jour. Le dessin attire l’ombre comme la musique le silence [ link ]. L’âme de l’artiste s’y repose avec joie. Mais l’ombre finit toujours par faire parler la lumière et le silence par réveiller les notes. Claudine hésitait cependant à quitter son havre de paix. La tentation de se plonger dans le monde chatoyant des couleurs n’allait-il pas la priver de l’essentiel? C’est alors qu’elle découvrit de merveilleux petits bâtons de craie colorée appelés pastels. Elle se mit à les tenir entre ses doigts comme les crayons familiers de l’écriture-dessin. Puis, mue par la curiosité, elle souffla sur la poudre de pigments comme sur des braises. Il n’était plus temps de reculer. Comme Alice au pays des merveilles, Claudine venait d’entrer dans un nouveau monde fabuleux qui allait l’attirer dans des aventures incroyables [ link ]. Claudine-Alice tentait toutefois de maintenir son cap initial. Elle se surprenait en train de réciter pour la énième fois en son for intérieur le poème de Rimbaud qui donne un nom de couleur aux voyelles ou le nom d’une voyelle aux couleurs. Et, de façon insensible puis de plus en plus consciente, elle se mit en quête de la Couleur. Aujourd’hui, elle développe (ce n’est pas une maladie) une mystique de la Couleur. Ses ami-e-s ont profité avec bonheur de sa période bleue. L’expression est en réalité inexacte car, chaque couleur faisant individuellement l’objet de la même quête, les périodes se superposent [ link ]. Le projet de Claudine n’a, en dépit des apparences, pas changé d’un iota depuis sa période dessin. Elle continue d’exprimer cette idée de la beauté et de la vie à la fois singulière et universelle qui la caractérise, elle continue de rechercher l’épure et la conceptualisation de ses premiers dessins [ link ]. Et nous, nous nous laissons emporter par l’océan ou le ciel de ses tableaux, qu’elle élabore souvent en compagnonnage littéraire avec Isabelle Pariente-Butterlin ou Francis Royo : voir et lire Contrepoint, le nouveau blog en duo de Francis et Claudine…





































