à peine
couleurs à peine posées
murmure de la lumière
instant de grâce
contemplation
ascèse
ce que dit l’absence d’écriture
ou le silence des arbres nus
quand les herbes sèches dessinent un espace
de solitude accomplie
-
Souscrire
Abonné
Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
Le vent qui souffle 
Magnifique ! Et les photos et les mots. Ce soir je vais dormir sereine. Merci
J’aimeJ’aime
Merci à vous, Denise, je suis heureuse de votre passage.
J’aimeJ’aime
Soudain, à vous lire, on entend le silence …
J’aimeJ’aime
Un silence bienfaisant qui permet d’accueillir la parole amie, un silence qui serait le réceptacle de nos rêves…
J’aimeJ’aime