Nous étions si fragiles…
Le blog que je tenais dans les pages web du journal pour lequel je travaillais fonctionne encore. Depuis quelques jours, je rédige des articles sur notre vie ici. Je les poste en espérant qu’ils suscitent le miracle d’un commentaire… Pourquoi continuer ce triste monologue? Le temps qui passe nous enferme dans une solitude radicale et confirme si besoin était le degré de destruction du monde…
Une bouteille à la mer. On pense que tout le monde s’en fout car personne ne répond.
Allez savoir qui lit et qui ne lit pas. Des jours ça agace et des jours on se dit que c’est tant pis.
Mais ce n’est pas un monologue. C’est un dialogue de réponses muettes.
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Françoise, suis navrée mais vous savez que suis inapte aux commentaires (d’ailleurs amie je vieillis et viens de passer… enfin y suis encore… dans une passe où je lis de moins en moins et j’ai fermé mon blog qui se mourait peu à pei) mais j’ai du lire deux billets sur trois
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