que protégeait en nous
l’écorce
que le temps fissura
et cette mousse au corps serrée
l’ardente
l’insoumise caresse
noire
où la lumière niche et dort
sans renoncer au feu
qu’avons nous fait
perdus
au coeur de l’arbre
de nos soifs
de nos peurs
Francis : les mots
Claudine : les couleurs