la mer existe encore
elle est au nid de tes paupières
cette lumière étrange
ce geste inachevé
qui palpite et qui tremble
chaque regard
aux couchers des soleils
anciens usés
chaque regard dessine
ébloui
par l’horizon qui meurt
une route absolue
francis: les mots
claudine: les couleurs
Magnifique
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