nulle détresse mais d’un amour sans tain la fleur violente de l’invisible miroir Francis : les mots Claudine : les couleurs
Source : CP73 – 29 août 2015
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Le vent qui souffle 
Je vous suis reconnaissante de vous souvenir de notre petit blog
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Le texte et les dessins sont magnifiques, nous aurions tant aimé que votre collaboration se poursuive longtemps!
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Bonheur de retrouver ces mots qui perdurent. En admiration et souvenir de la poésie de Francis, un de ses aporos sera en exergue de mon prochain recueil (à sortir début 2017 chez Jacques Flament). Je souhaitais vous en informer. Bien poétiquement, Eve de Laudec
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Cet échange entre vous était une joie pour nous tous. On était ravis d’être amis d’un véritable couple d’artistes. Car si Francis avait un évident talent d’artiste dans sa poésie et dans tout ce qui transparaît de vos discussions sur le dessin et les couleurs, toi aussi, Claudine, tu as une sincérité qui brise l’écran et ta sincérité est celle des vrais poètes ! Merci de cette publication d’aujourd’hui, elle nous aide à rêver d’une vie qui continue !
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merci Giovanni baci <3
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Un grand merci à toi, cher Giovanni, pour ton regard de peintre et ta sensibilité de poète, qui s’expriment ici pour rendre hommage à Claudine et à Francis. Les textes et les dessins sont toujours à notre disposition, le lien entre leurs auteurs et nous est bien vivant :)))
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