Un malaise mondial beaucoup plus profond…
bie sûr, il faut toujours se méfier de ces pseudos révélations d’experts, et j’ignore tout de celui-ci. Pourtant ses interrogations rejoignent celles que je ne cesse de me poser sur la nature de ce à quoi nous sommes confrontés. D’abord la conviction qu’il s’agit avec Daech d’un fascisme et que celui-ci comme tous les fascismes a d’abord une nature de classe. Une manière pour un système qui depuis plus d’un siècle désormais est entré dans une phase de crise profonde, le capiitalisme, multipliant les conflits inter-impérialistes et devenu de plus en plus destructeur (guerres mondiales, massacres de masse de la première guerre mondiale à la shoah en passant pas Hiroshima. Il ne s’agit plus d’opposer la folie manifeste de ceux qui combinent vocation suicidaire à pulsion homicide et qui rencontrent des réseaux sociaux de ce fascisme, mais de bien comprendre…
Voir l’article original 651 mots de plus
Bien sûr, Paul Rogers a raison.
J'aimeJ'aime