(D’après une photo d’Isabelle Pariente-Butterlin)
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J’aime la manière dont vous rendez visible le vent…
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Merci pour votre regard :)))
L’art est, comme la prière, une main tendue dans l’obscurité,
qui veut saisir une part de grâce pour se muer en une main qui donne.
J’aime ces mots de Franz Kafka que vous avez mis en exergue sur votre blog
https://mariechristinegrimard.wordpress.com/
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magnifique, j’ai regardé par plusieurs fois le sol d’où partent les herbes au vent,
souffle de printemps.
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J’aime vos « petits riens » et leur « soleil à pleines mains »…
http://rencontresimprobables.blogspot.fr/2016/03/petits-riens.html
http://rencontresimprobables.blogspot.fr/2016/04/loutremer-du-temps.html
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oh grand merci de vos passages, Françoise
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J’ai bien sûr un peu l’impression de me répéter… mais je le dirai quand même, Françoise…
Encore une fois, un pastel qui me touche, me surprend par sa force-réalité mêlée pourtant à une grande poésie. C’est ainsi que je reçois cette œuvre. C’est très beau à mes yeux.
Et j’aime pouvoir m’en approcher à ce point. Beaucoup de beauté à partir d’une grande simplicité dans le trait.
… et tandis que j’y pose à nouveau les yeux, c’est le mot poésie qui revient. Je crois pouvoir dire que mon sentiment naît en partie de votre capacité à donner ce sens poétique à l’image. Bref, j’aime beaucoup vos pastels. Et celui-là encore.
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Un si grand merci, chère Caroline! Je suis moi-même tellement touchée par la belle simplicité de votre poésie
dansons
pour l’amour du ciel !
et surtout
pour la beauté du monde
quand je me promène entre les pages de votre blog
https://carolinedufour.com/
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