À l’ombre d’un arbre
sur un banc
ici et maintenant
petites taches de soleil sur le sol sec
bourdonnement de l’été
sans gravité
mes pensées volettent comme ce papillon blanc
au milieu de la frondaison verte
et le paradis ressemble à ce jardin
bonjour, l’éternité
Nos pensées sont comme des feuilles, au moindre coup de vent elles s’envolent. Mais les poèmes demeurent suspendus dans le vent et s’accrochent aux branches de notre imagination! Beau poème ventilé et aérien!
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Merci pour ces quelques mots qui ont voleté jusqu’à moi.
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Il suffirait d’un papillon…
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C’est doux et léger en ce début d’août, comme un papillon… merci.
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