Derrière ma vitre je n’entends
rien j’emploie des mots
à blanc
l’univers concret
s’est vaporisé je ne vois pas
ce qu’on me dit
je n’ai plus de choses
prête-moi ta plume je n’ suis plus personne
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Le vent qui souffle 
Ce n’est qu’après avoir lu que
posant à nouveau les yeux sur le titre
j’ai lu Psy chose
alors j’ai parcouru à nouveau le texte
et suis un instant devenu
chose qui ne voit plus, qui n’est plus « personne »
qui voudrait qu’on lui tende une plume
pour renaître à la vie.
(en espérant ne pas avoir trop personnalisé ma lecture)
merci pour cette page
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Merci à vous pour ces quelques gentils traits de plume qui me touchent…
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