Blanc silence dans la nuit noire
le monde n’est pas en repos
il fomente les drames du jour
Repos
Un jour pour toujours
Je ferme les yeux
La tête appuyée contre mon poing fermé
Encore consciente
Pour combien de temps
Un jour je glisserai ainsi
Tout doucement je l’espère
Dans le grand sommeil inimaginable
Qui ferme la vie