(fiction en cours d’écriture)
La République française avait renoué avec les heures les plus sombres de son histoire… L’état d’urgence, devenu permanent après les attentats de 2015 et gravé en 2017 dans la Constitution * autorisait tous les excès policiers. La peur d’un nouvel attentat nucléaire paralysait les résistances et réveillait les pires instincts. La droite poussait les Autorités à réprimer toujours plus, des milices prétendaient vouloir faire justice elles-mêmes, des chasses ignobles au faciès étaient organisées par des groupes fascistes sur lesquels le pouvoir fermait les yeux. Le Front national embusqué attendait avec délectation le moment inéluctable où il récolterait les fruits du chaos…
* Voir l’Avertissement en préambule à ce récit.
