5 commentaires

1. Ces photos m’ont fait penser à ce célèbre poème de François Coppée

   Le hibou parmi les décombres
   Hurle, et Décembre va finir ;
   Et le douloureux souvenir
   Sur ton cœur jette encor ses ombres.

   Le vol de ces jours que tu nombres,
   L’aurais-tu voulu retenir ?
   Combien seront, dans l’avenir,
   Brillants et purs ; et combien, sombres ?

   Laisse donc les ans s’épuiser.
   Que de larmes pour un baiser,
   Que d’épines pour une rose !

   Le temps qui s’écoule fait bien ;
   Et mourir ne doit être rien,
   Puisque vivre est si peu de chose.

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2. Quel joli mot, s’abriller !
   Vous aurez 15 à 20 cm de neige d’ici demain matin, chez nous, elle aura déjà vraisemblablement fondu, et il ne restera que ces deux photos… mais je pourrai aller voir celles de votre blog, et compenser ainsi le manque de neige qui nous prive du bonheur de la voir effacer le monde habituel…

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3. Le bonheur du blanc. La magie blanche.
   Ici aussi il neige en ce moment.
   La première vraie tempête de l’hiver.
   Nos deux bouts de monde qui s’abrillent
   au même moment.
   Vos images sont belles, Françoise.
   J’aime particulièrement la première…

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4. Oui, en région parisienne aussi. C’est tout cotonneux. Le rideau d’arbre donne de très belles lignes.

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   1. La neige, chez nous, se fait rare maintenant… :-((

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