
Loin de l’endroit où tant de rêves meurent
La mémoire entasse des heures
Au bord de l’eau
Les arbres pleurent
La montagne roule son dos
En haut une tête se penche
La face que l’on voit est blanche
(Pierre Reverdy)

Loin de l’endroit où tant de rêves meurent
La mémoire entasse des heures
Au bord de l’eau
Les arbres pleurent
La montagne roule son dos
En haut une tête se penche
La face que l’on voit est blanche
(Pierre Reverdy)