On posa une main sur son épaule
en équilibre sur une seconde difficilement extraite de la gangue du temps
l’éternité prenait les ailes d’un frôlement
On posa une main sur son épaule
en équilibre sur une seconde difficilement extraite de la gangue du temps
l’éternité prenait les ailes d’un frôlement
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.
tellement évocateur
l’éternité…
J’aimeJ’aime
Bien rythme. Merci !
J’aimeJ’aime
Il y a de cela…
J’aimeJ’aime
Ces frôlements comme un métronome
J’aimeJ’aime