La peur mêlée à des sentiments de révolte créa un climat d’insurrection. La droite maurassienne des débuts du vingtième siècle renaissait de ses cendres. Les drapeaux bleus et blancs fleurissaient dans des manifestations improvisées qui dégénéraient toujours, à la tombée de la nuit, en bagarres crapuleuses et en casses sans que les Autorités ne parviennent jamais à identifier les commandos d’agitateurs téléguidés par l’extrême-droite, facilement repérables, pourtant, sur les vidéos filmées par des amateurs au milieu de la foule, alors que la police ne trouvait bizarrement sur son chemin que des manifestants estampillés « gauche radicale » et quelques écologistes désespérés qu’elle donnait en pâture à l’opinion. Triste fin d’un pouvoir dit *socialiste qui n’en avait jamais eu que le nom, volé à la vraie gauche par une poignée d’imposteurs et une multitude de profiteurs…
* Voir l’Avertissement en préambule à ce récit.
Vraie gauche, fausse gauche, triste fin de pouvoir socialiste, comment pouvez vous être aussi sur de tout cela?
J’aimeJ’aime
Ce texte est un extrait d’un récit « Écrit depuis l’avenir », qui, tout en s’appuyant de très, très près, sur l’actualité que nous sommes en train de vivre, reste une fiction (j’espère, par exemple, qu’il n’y aura jamais d’attentat à la bombe nucléaire!). Quant à la gauche de gouvernement telle que nous venons de la subir, j’espère que, vous aussi, vous vous posez des questions.
J’aimeJ’aime