Le démantèlement de l’empire soviétique, à la fin du vingtième siècle, avait livré en pâture aux Mafias et aux aventuriers du monde entier une quantité invraisemblable d’objets provenant de son ancien arsenal nucléaire, qui échappait depuis à tout contrôle. Le trafic d’armes de toutes sortes était un business très juteux et la Lybie, que les Occidentaux avaient débarrassée de son dictateur Kadhafi sans anticiper l’instabilité chaotique qui allait suivre, était devenue une plaque tournante pour les revendeurs tout en offrant à l’Etat islamique une base arrière idéale. Si le dictateur irakien Saddam Hussein avait été accusé de détenir des armes de destruction massive qui n’existaient pas, il avait bel et bien tenté de se doter de l’arme atomique et le Califat, dont la folie meurtrière ne reculait devant rien, n’avait eu aucun mal à rallier les ingénieurs spécialisés dans le nucléaire qui avaient travaillé pour lui. On était loin de la rationalité de l’époque de la Guerre froide et des théories de la dissuasion en vigueur alors! Les attentats djihadistes habituels se multipliaient partout dans le monde en accentuant à chaque fois le sentiment d’insécurité des populations, mais l’Organisation de l’état islamique voulait aller encore plus loin dans l’instauration de la terreur. Le régime obtint ce qu’il souhaitait avec l’atome. Le 11 septembre 2020 devait marquer les esprits aussi fortement que le 11septembre 2001, triste réitération de l’horreur…
Heureusement, Donald Trump, avec le flair politique qui le caractérisait depuis son accession à la Maison blanche, avait réussi in extremis à éviter le pire.
En faisant balancer plusieurs bombes atomiques sur les lieux supposés où se terraient et s’entraînaient les terroristes de l’E.I,, il laissa une table rase devant laquelle les Bachar-el-Assad et autres dictateurs de la région durent s’incliner.
Ainsi, l’homme aux cheveux jaunes et à la cravate rouge était bien parti pour un second mandat.
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