Entre 6000 et 7000 femmes excisées ou menacées de l’être vivent en Suisse. Ces chiffres ont été avancés dans un récent rapport de l’UNICEF section Suisse, sur la base d’une enquête menée auprès des gynécologues, sages-femmes, pédiatres et services sociaux. Entre ces chiffres et le drame de l’excision, il existe une série de mesures axées sur la prévention et l’information. Appuyée en cela par l’imminente intervention de la loi, non sans faire grincer des dents. Notre dossier.
27 juin 2008: un premier procès vient de sanctionner un acte de mutilation génitale en Suisse. Un couple de somaliens reconnaît avoir fait exciser leur fille de deux ans, en 1996, à leur domicile à Zurich. Appuyant la proposition du procureur, le Ministère public avait requis, en l’endroit du couple somalien, deux ans de prison avec sursis. « Peut mieux faire », ont estimé les défenseurs des droits de la femme et de…
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Il reste à espérer que quatre ans après la parution de cet article les choses aient un peu avancé…
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Pas vraiment semble-t-il, l’association Caritas, dont il est question dans l’article, a organisé une journée de sensibilisation début juin…
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Je n’ai pas pu tout lire, rien que l’image me fait froid dans le dos…
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Idem !
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Quelles soient d’origines tribales ou religieuses, imposer une mutilation au corps devrait être punie par de sévères lois.
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